Célestins, Théâtre de Lyon
Mémoire des Célestins
Histoire d'un théâtre
Ville de Lyon
Fil ariane
- Racine
- Mémoires Célestins
- Accueil
- Saisons
- 2009-2010
- Mon Golem
Moteur de recherche
Grâce aux différents modes de recherches proposés, découvrez les œuvres jouées au fil des saisons, les auteurs, metteurs en scène, comédiens et autres hommes qui ont marqué l'Histoire des Célestins. Chaque recherche permet d’accéder aux fiches spectacles comprenant des éléments numérisés. Utiliser les guillemets pour renseigner les titres composés ou le nom et le prénom d'une personne, sinon le résultat de la recherche tient compte séparément de tous les mots saisis.
Ce formulaire vous permet d'effectuer une recherche multicritères et d'obtenir une liste de spectacles et leurs ressources associées.
La médiathèque vous permet de rechercher par typologie de ressources, le fond numérisé sur une période donnée.
recherche avancée MédiathèqueMenu pratique
S'inscrire à la newsletter
Menu supérieur
Contenu principal
ressources du spectacle
galerie de photos
Langue : Français
Du 18 au 22 novembre
2009
Durée : 1h20
Horaires : 20h, dim à 16h
Salle : Grande Salle
Distribution
Comédien(s) :
David Bursztein, Jean-Pierre Hollebecq, Wilma Lévy, Florence Masure, Jacques Pabst, William Schotte, Irina Vavilova, Philippe Vincenot
Musique :
William Schotte
Décor :
Wladyslaw Znorko, Espace et Cie
Créateur(s) lumière :
Richard Psourtseff
Créateur(s) son :
Olivier Martin
Résumé
Un conte fantastique offert au théâtre
Wladyslaw Znorko est un poète. Un rêveur impénitent, doublé d'un conteur fabuleux, fabriquant d'histoires extraordinaires. Depuis près de vingt ans, il invite le public à le suivre sur les voies incertaines d'un univers à la lisière de l'irréel et du réel.
Faire revivre le Golem, ce personnage légendaire fabriqué de glaise, qui a pris vie au moment ou lui était glissée une lettre d’or dans la bouche… telle est aujourd’hui son ambition. Le Golem, un jour, a disparu. Mais certains disent encore le croiser, le soir, au détour d’une ruelle, dans certains faubourgs mal éclairés. Pour nous il reste une lueur comme celle d’un pays oublié, lointain et au demeurant désiré.
L’attirail poétique du Cosmos Kolej est au rendez-vous, avec son esthétique d’exode, ses armoires à souvenirs et ses roues de vélo. Fidèle à son esprit qui fait du théâtre avant tout un espace de rencontres et de partage, le Cosmos Kolej vient à nous comme un colporteur d’autrefois muni de ses dernières trouvailles, fripes de surréalisme, puces de métaphysique et reliques d’humanisme…
« Le Golem n’est pas méchant, il ne parle pas car on ne lui a pas confié la parole, ne vous regarde pas car il ne veut pas vous voir et on ne sait ce qu’il pense. Il est pensée. Il ne peut avoir d’amis ni de fiancée, là est son tourment.
Depuis ma plus tendre enfance, il habite parfois un recoin de mon ombre et j’y devine comme une partie obscure qui ne serait pas moi.
La nuit, il est bien sûr sous le lit et en plus, il ronfle. J’aimerais parfois qu’il me lâche un peu mais comment faire ? Comment faire ? Golem, mon Golem plein de chagrin, comment apaiser ton âme fantasque alors que l’horloge se met à tourner à une vitesse anormale ? »
Wladyslaw Znorko, La Gare Franche, Marseille, novembre 2007