Auteur(s) :
Philippe Genty, Mary Underwood
Metteur(s) en scène :
Philippe Genty, Mary Underwood
Langue : Français
Du 12 au 22 avril
2006
Genre : Théâtre
Salle : Grande Salle
Création / Accueil : Coproduction 2006
Distribution
Assistant(s) à la mise en scène :
Clélia Colonna
Comédien(s) :
Amanda Barter, Nikola Krizkova, Sébastien Lenthéric, Pierrik Malebranche, Pierre-Henry Nohé, Nancy Rusek, Simon T. Rann
Manipulation :
Jean-Luc Passarelli, Emmanuel Rieussec, Emma Scaife, Rodolphe Serres
Musique :
Serge Houppin, Henry Torgue
Costumes :
Charline Beauce
Créateur(s) lumière :
Philippe Genty, Emmanuel Laborde
Régie Lumière :
Jean-Luc Passarelli
Régie son :
Pascal Laajili
Résumé
Avec Passagers clandestins en 2002 et Ligne de fuite en 2003, Philippe Genty a laissé sur la scène des Célestins des images inoubliables. Comme tous ses spectacles, La Fin des Terres repose essentiellement sur l’imaginaire visuel. C’est cependant le récit de la recherche éperdue d’une mystérieuse figure féminine. La mouvance des images qui raconte cette recherche est une chorégraphie de personnages et d’idées comme Philippe Genty aime les concevoir. Des créatures énigmatiques surgissent dans des paysages suggérés qui entretiennent la confusion entre illusion et réalité dans un décor en perpétuelle métamorphose. Philippe Genty a convoqué pour cette nouvelle aventure sept complices des visions qu’il nous fait partager. Ils sont autant acteurs, danseurs que manipulateurs d’objets et d’apparitions féeriques. Comme dans les rêves, les personnages ne rentrent pas de la coulisse pour prendre position et dire un texte. Ils sont là on ne sait trop comment, surgissent, disparaissent sans qu’on y prête forcément attention, remplacés par d’autres. Dans La Fin des Terres, un personnage s’agite dans une mystérieuse investigation. Il se sent épié, croise d’autres personnages qui jalonnent son cheminement. Une petite femme balaie l’obscurité. Un grand homme efface l’ombre de celle qui semble être l’objet de la recherche. Ils la guident, la déplacent, l’aident, la poussent. Elle tombe, elle roule. Ils l’ignorent. Ils ouvrent une valise et en sortent des objets. Nos souvenirs et nos sensations épousent le mouvement de la vague qui métamorphose sans cesse le plateau…
Production
Production :
Théâtre National de Chaillot, Paris, Maison de la Culture de Nevers et de la Nièvre, Compagnie Philippe Genty, Espace Jacques Prévert, Aulnay-sous-bois, Grand théâtre de Lorient, Célestins, Théâtre de Lyon, Théâtre André Malraux, Rueil Malmaison, La Coursive - Scène nationale de la Rochelle, Maison de la Culture de Loire-Atlantique, Nantes